Cryda de Tintagel

Cryda est la soeur d'Ygerne de Tintagel, et par conséquent la tante d'Arthur. C'est une femme aigrie et froide, qui ne se prive pas de dire à qui veut bien l'entendre combien elle déteste son neveu, qu'elle considère comme un moins que rien et un batârd. Heureusement, le roi s'avère être devenu avec le temps imperméable aux insultes diverses de sa tante. Il ne se prive néamoins pas de la dénigrer de son côté, et d'éviter par tout les moyens de la voir. D'ailleurs, il refuse tout les ans de se rendre à La fête de l'hiver à Tintagel, entre autres pour ne pas la croiser.

On apprend plus tard que l'une des raisons pour laquelle Arthur n'aime pas sa tante, c'est parce qu'elle avait apparemment l'habitude de le battre quand il était petit. Elle lui aurait donné 50 coups de bâton après qu'Arthur ait mangé un pot de confiture

Néamoins, le seul moment ou Cryda a approuvé son neveu, c'est quand elle a appris son échange d'épouse avec Mevanwi, qui appartient à la haute société de Vannes. 

 

Cryda dans le Livre VI :

Elle est avec Ygerne lorsqu'elles interviennent dans le plan d'Anna qui projette d'assasiner Arthur. Elle n'aime visiblement pas non plus le mari d'Anna, Loth.

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Citations :

- (A Arthur) Pourtant on m'avait prévenu que c'était moche Kaamelott, mais alors là... je m'attendais pas à ça ! [...] c'est pas compliqué, on dirait un tas de fumier posé sur la colline.

(A Léodagan, à propos de lui et sa famille) Attention, j'ai rien contre les bouseux, mais normalement je mange pas avec, c'est tout.

(A propos d'Arthur) Je crois que j'aimerais mieux être la tante d'un cochon pesteux.

(Livre III, "Cryda de Tintagel")

 

- (A Arthur) C'est vrai, on était tellement habituées à votre conduite merdique... chaque fois qu'on reçoit un message de Kaamelott, c'est pour apprendre que vous avez perpétré une nouvelle connerie !

[...] On se faisait une réflexion amusante, c'est vrai, autour de votre Table Ronde, y'a pratiquement que des connards !

[...] Parce que c'est vrai que votre Guenièvre... dans le genre pécore mal dégrossie elle s'posait là ! [...] (A propos de la Carmélide) Puis après avec votre idée de fédération, ils se sont tous pris pour des rois et des princesses. Mais les Goustan, les Léodagan et toute la clique, c'est qu'des gros cons, hein...

(Livre IV, L'approbation)